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Solomon
Population : 13
milliards.
Dîme impériale : Exactus
Extremis (spécial).
Géographie/démographie : ruches et installations
industrielles supra-continentales entrecoupées de mers polluées, ayant entraîné
la disparition des paysages naturels. Haut niveau de pollution environnementale,
climat fortement perturbé avec épisodes fréquents de pluies corrosives et de perturbations
électrostatiques. Les conditions sur Solomon sont à la limite de la viabilité
humaine qui n’est maintenue que grâce à un réseau de recycleurs
macro-atmosphériques. Population en diminution constante.
Gouvernement : oligarchie
parlementaire sous la supervision du Departmento Munitorum.
Gouverneur planétaire : archipréfet Garth Jarndyce.
Présence des Adepta : Très forte. Présence omniprésente
du Departmento Munitorum et de l’Administratum qui dominent les structures
politiques et économiques de ce monde. Les centres de pouvoir importants
comprennent le palais de la Cour de la chancellerie, la surveillance orbitale planétaire
et la forteresse du recensement central de la dîme. La présence de l’Adeptus
Arbites et du Ministorum est classifiée comme inférieure à la moyenne pour un
monde-ruche aussi peuplé et important que Solomon.
Présence militaire : forces de sécurité du
Munitorum, garde parlementaire (les FDP locales), plusieurs petites armées
privées des différentes guildes des dîmes. Qualité moyenne. Important centre de
transbordement militaire et d’approvisionnement, Solomon possède également un
puissant réseau de défense orbitale.
Description : selon
l’édit de secteur A-87635.597 du seigneur militant Angevin, Solomon fut déclaré
État-client du Departmento Munitorum et la majorité de la dîme prélevée sur la
production industrielle de la planète directement attribuée à cette branche des
Adepta. L’acquittement de cette dîme est le devoir des guildes de la planète,
qui réunissent les classes supérieures de Solomon.
Cette
responsabilité confère aux guildes le deuxième pouvoir politique de Solomon,
derrière celui du Departmento Munitorum. Une situation qui contraste avec la
plupart des planètes du secteur Calixis, où les gouvernements héréditaires et
industrialo-féodaux sont la norme.
Le
haut niveau de la dîme a entraîné la consommation presque totale des ressources
naturelles de Solomon. Des siècles d’activité industrielle extrême ont détruit
la biosphère de la planète, conduit à l’extinction de la plupart des formes de
vie indigènes et limité globalement la présence humaine aux cités-ruches
protégées.
Il
existe cinq cités-ruches qui recouvrent le continent principal de Solomon et
hébergent l’essentiel de sa population : Gloriana, Atropos, Morrigan, Albia et
Wrath. Entre les ruches, le paysage est principalement occupé par des
infrastructures industrielles : réseaux de canalisations, raffineries, usines
chimiques, cheminées de combustion, fonderies, entrepôts. Si certaines
installations sont encore utilisées, la plupart ont été abandonnées à cause de
leur vétusté. Le reste se compose de terres incultes désertées, de mers
toxiques et de zones urbaines abandonnées, tous territoires classifiés comme
impropres à accueillir la vie humaine sur une longue durée. Ces zones, qui
couvrent des centaines de milliers de kilomètres carrés, sont officiellement
désignées par le Departmento Munitorum sous le nom de zones infrastructurelles
et industrielles de l’Intérieur [voir Section 23/u : topographie et cartes de
zonage de la surface planétaire]. Le parler local les appelle simplement «
Intérieur » ou « Inter ».
La loi et l’ordre : la population de Solomon est en phase finale de déclin en raison de la nocivité croissante de son environnement et doit être régulièrement réalimentée par l’immigration forcée organisée par l’Administratum. En plus du déplacement de populations des classes inférieures d’autres mondes-ruches, cette immigration est renforcée par l’établissement de camps de travail pénitentiaires pour des prisonniers extraplanétaires et par l’organisation de l’importante population mutante de Solomon en main-d’oeuvre servile. L’introduction de ces éléments dans la société de Solomon a entraîné de hauts niveaux de dissension et de mécontentement dans la population de la planète. Les évadés des camps pénitentiaires et la main-d’oeuvre servile ont notamment nourri une population croissante de hors-la-loi qui se réfugient dans l’Intérieur et limitent le contrôle administratif effectif de cette zone.
Au sein des cités-ruches, l’ordre est maintenu par des soldats privés et des escouades de mercenaires contrôlés et financés par les guildes des dîmes. Ces escouades sont chapotées par les préfets quastor du Departmento Munitorum et par l’autorité militaire de la garde parlementaire. Les forces de l’ordre de l’Adeptus comme celles des guildes se préoccupent essentiellement du maintien de l’ordre et des niveaux de production ; la protection des citoyens de Solomon est secondaire. On estime que c’est la cause du manque de confiance général de la population à l’égard des autorités locales et planétaires, et que cela a peut-être contribué au mécontentement civil dans les cités-ruches. Il existe aussi une population criminelle importante dans les niveaux inférieurs des cinq ruches, que les autorités civiles ont été incapables de mettre au pas.
La loi et l’ordre : la population de Solomon est en phase finale de déclin en raison de la nocivité croissante de son environnement et doit être régulièrement réalimentée par l’immigration forcée organisée par l’Administratum. En plus du déplacement de populations des classes inférieures d’autres mondes-ruches, cette immigration est renforcée par l’établissement de camps de travail pénitentiaires pour des prisonniers extraplanétaires et par l’organisation de l’importante population mutante de Solomon en main-d’oeuvre servile. L’introduction de ces éléments dans la société de Solomon a entraîné de hauts niveaux de dissension et de mécontentement dans la population de la planète. Les évadés des camps pénitentiaires et la main-d’oeuvre servile ont notamment nourri une population croissante de hors-la-loi qui se réfugient dans l’Intérieur et limitent le contrôle administratif effectif de cette zone.
Au sein des cités-ruches, l’ordre est maintenu par des soldats privés et des escouades de mercenaires contrôlés et financés par les guildes des dîmes. Ces escouades sont chapotées par les préfets quastor du Departmento Munitorum et par l’autorité militaire de la garde parlementaire. Les forces de l’ordre de l’Adeptus comme celles des guildes se préoccupent essentiellement du maintien de l’ordre et des niveaux de production ; la protection des citoyens de Solomon est secondaire. On estime que c’est la cause du manque de confiance général de la population à l’égard des autorités locales et planétaires, et que cela a peut-être contribué au mécontentement civil dans les cités-ruches. Il existe aussi une population criminelle importante dans les niveaux inférieurs des cinq ruches, que les autorités civiles ont été incapables de mettre au pas.
Le
pouvoir du Ministorum et du culte impérial est faible sur Solomon, une
situation à laquelle l’Ecclésiarchie du secteur a tenté sans succès de
remédier. Les enquêtes du Ministorum ont révélé que les citoyens considèrent le
culte impérial comme un « instrument » aux mains des classes supérieures et du
gouvernement planétaire. Ce sentiment est considéré comme une menace directe à la
stabilité civile. De leur côté, les guildes des dîmes et l’Administratum ont
établi des punitions parmi les plus sévères du secteur contre la sédition et la
désobéissance civile. Mais malgré cela, la populace a montré une tendance
marquée à la rébellion, et des épisodes locaux de violences et d’émeutes se produisent
avec une certaine régularité [voir Section 270/b : statistiques des forces de l’ordre].
Il est conseillé aux membres des Adepta traitant des affaires dans les secteurs
industriels de ne pas faire étalage de leur identité.
Le
désespoir général, le ressentiment et la morbidité induisent également de
possibles émergences de mouvements hérétiques de différentes sortes. Les
enquêtes des autorités impériales ont rapporté l’existence de nombreuses
légendes parlant d’une nature corrompue [voir Section 543/r : la malédiction de
Solomon], ainsi que des preuves de l’existence de nombreux cultes, sociétés
secrètes et partisans hérétiques [voir Sections 578/r-611/b : les
Cryptographes, les Dormeurs de Solomon, les Veilleurs mécaniques, le Poing
rouge de la révolution, la Mort silencieuse, autres organisations hérétiques].
Une situation devenue à l’occasion suffisamment sérieuse pour mériter des
investigations et des purifications orchestrées par les saints ordos.
Vestiges de l’histoire ancienne : la présence humaine sur Solomon
est antérieure à la croisade d’Angevin qui fonda le secteur Calixis. Le nom de
la planète viendrait du libre-marchand Solomon Haarlock qui, selon certaines
sources, aurait utilisé ce monde comme base d’opération durant ses explorations
du secteur à la fin du 36e millénaire. La colonisation humaine pré-impériale de
la planète est souvent considérée comme la cause de certaines anomalies
culturelles et technologiques visibles sur Solomon et absentes des autres
mondes du secteur et, par voie de conséquence, de certaines découvertes
occasionnelles d’origine archéotechnologique inconnue sur la planète [voir
Section 789/w
: le vide d’Abacus]
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